- NUMBER ONE -  #1... "MARIES, DEUX ENFANTS."

 

​   Suite au podcast Monsieur Séries and Friends Spécial Années 80 Partie 1 et au sondage réalisé sur Twitter, deux séries sont ressorties pour la semaine suivante : Mariés, deux enfants et Miami Vice. J'ai décidé de réitérer la même expérience que les Friends, c'est-à-dire regarder les pilotes de ces deux séries pour la semaine suivante. Cette article sera destiné à la première.

 

Titre: Marié, deux enfants (Married with children en vo)

Genre : Sitcom

Chaîne : Fox

1987-1997

11 saisons de 13 à 26 épisodes de 25 minutes (262 épisodes au total)

Avec Ed O'Neil (Al), Katey Sagal (Peggy), Christina Applegate (Kelly) et David Faustino (Bud).

 

   Je précise d'abord que, n'ayant pas vu les 261 épisodes restants (-où veux-tu que je trouve le temps de voir 261 épisodes alors que je regarde déjà The Joel McHale Show with Joel McHale en cours d'allemand!- ), je ne parle que du pilote .

 

   En gros l'histoire est simple. C'est un couple qui a deux enfants et qui aime se disputer (mais je pense que tu aurais compris tout seul). Plusieurs questions me sont venues à l'esprit dès les premières minutes. Je ne suis pas du tout familier des séries des années 80. J'ai vu quelques épisodes de Dallas, Colombo, Alf, et Arnold et Willy sur Gulli. Cette série représente visiblement la classe moyenne aux USA dans les années 80. Le tout est très, très, très, très caricatural et stéréotypé. Al travaille dans un magasin de chaussures, se moque de ses clientes qui rêve de faire du 38, passe tout son temps libre devant le basket, la main dans le jeans, et fait des reproches à sa femme. Peggy, femme au foyer, fume toute la journée sur le canapé devant Téléachat. Ça se passait vraiment comme ça en 1987? Après quelques recherches je me suis rendu compte que cette image était assez nouvelle dans les séries, où les familles sont blanches, riches, heureuses, avec 5 enfants et un chien.

 

   Ce qui m'a marqué durant cet épisode c'est la relation entre Al et Peggy, sur qui la série repose (je n'ai pas retenu le nom des enfants- je sais juste que leur père a perdu 20 dollars). L'homme et la femme adorent se détester, se moquent l'un de l'autre, et certaines punchlines étaient bien envoyées. Alors, même si je n'étais pas mort de rire, que la série a visiblement un peu vieilli et que les rires enregistrés ( à part dans Friends) « non merci », j'ai passé un bon moment. Certaines blagues étaient sympathiques et les O'Neil/Sagal très bons. Je ne regarderais sans doute pas toute la série mais vous pourrez peut-être me voir devant un ou deux épisodes de la saison 1 dans le semaine à venir. Cette expérience était intéressante car j'ai pu voir à quoi pouvait ressembler une série des années 80, son humour, sa mise en scène.

 

JE VALIDE

 

Maintenant, au tour de Miami Vice. Que le sort lui soit favorable!

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24/04/18